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Tout sur l’ixprim

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Sommaire

Pour quelles pathologies l’Ixprim est-il prescrite ?

Votre médecin vous prescrit d’ixprim afin de soulager vos douleurs jugées modérées à intenses, quelle que soit la maladie dont vous souffrez.

 

 

Un antalgique de palier II

L’ixprim n’est pas un médicament de premier choix, mais un antalgique de nécessité dès lors que votre traitement initial est inefficace. Votre médecin le prescrit lorsque les antalgiques de classe I (Doliprane, Dafalgan, Aspirine, etc.) sont incapables de soulager vos douleurs.

D’après la classification de l’OMS, il fait partie des antalgiques de palier II. C’est donc un opioïde (faible) associé à du paracétamol qui empêche la transmission de la douleur. Son action est similaire à celle de la morphine. En effet, il agit immédiatement sur le système nerveux central, notamment sur la perception de la douleur. Mais à la différence des médicaments du niveau 3 (les plus forts), il possède une puissance modérée.

 

Douleurs modérées à intenses

Ressentez-vous de la douleur ? Vous n’êtes pas seul, car 64 % des patients sont concernés. Elle fait partie des premières consultations médicales. Mais concrètement : qu’est-ce que la douleur ? La réponse est moins évidente, car la douleur est un phénomène multidimensionnel qui associe plusieurs éléments (psychiques, physiologiques, émotionnelles et environnementales).

Néanmoins, en 1979, l’Association Internationale pour l’étude de la douleur (IASP : International Association for the Study of Pain) essaie de la décrire comme une expérience émotionnelle et sensorielle désagréable. Elle active tous les récepteurs (peau, muscles, organes, os, etc.), les nerfs (qui s’occupe de la transmettre au cerveau) et le système nerveux central (à l’origine des réactions et des émotions). Heureusement, la douleur peut être atténuée grâce à des antalgiques.

On peut classifier le niveau de douleurs, en fonction des maladies en cause. Elle est donc qualifiée de « modérée à intense », dès lors qu’elle n’est pas soulagée par les antalgiques de type 1 (Doliprane, Dafalgan, …). C’est le cas de :

Maux de tête, céphalées

  • Suites opératoires
  • Polyarthrite rhumatoïde
  • Sciatique
  • Arthrose
  • Douleurs articulaires
  • Rhumatisme psoriasique
  • Maux de dos
  • Lombaire
  • Cancer…

Bien évidemment, votre médecin peut vous prescrire de l’ixprim, même si vous souffrez d’une maladie qui ne figure pas dans cette liste. Ce médicament est indiqué dès lors que votre niveau de douleurs n’est plus soulagé par les antalgiques de la classe 1.

 

Mode d’administration et posologie de l’Ixprim

Cet antalgique contient des principes actifs assez puissants, d’où l’intérêt de respecter la posologie et le mode d’administration indiqué dans la notice.

 

Quelle est la posologie indiquée ?

Comme l’ixprim est un dérivé des opiacés, il est interdit aux enfants de moins de 12 ans. Sa prise est donc réservée aux adultes et aux adolescents. 2 comprimés, l’équivalent de 75 mg chlorhydrate de tramadol et 650 mg de paracétamol sont largement suffisants. Cependant, votre médecin peut vous prescrire une dose supplémentaire, si besoin. Dans les deux cas, respectez toujours un délai d’intervalle de 6 heures entre les prises, sans dépasser 8 comprimés par jour.

 

Comment prendre l’ixprim ?

L’ixprim est administré par voie orale en cas de besoin. Alors, prenez vos comprimés avec un verre d’eau en cas de douleurs, avant ou après le repas. Néanmoins, pour assurer son efficacité, évitez de :

  • Fractionner ou mâcher vos médicaments
  • Boire de l’alcool durant la prise
  • Augmenter la dose, sans en parler avec votre médecin. Le surdosage peut être à l’origine d’une atteinte hépatique dont les symptômes surviennent ultérieurement
  • Doubler la dose en cas d’oubli. Cette mauvaise habitude augmente le risque d’intoxication médicamenteuse.
  • Arrêter brusquement votre traitement, sans solliciter l’avis de votre médecin.

 

Un risque de dépendance ?

Cet antalgique contient un opiacé à faible dose. Certes, il soulage vos douleurs, mais à long terme, il peut entraîner une dépendance. Ce risque augmente si vous avez des antécédents de dépendances médicamenteuses. Alors, pour éviter cette situation, préférez un traitement court. Respectez également la dose prescrite. Si le dosage actuel ne soulage pas vos douleurs, parlez-en à votre médecin, avant d’augmenter la prise.

 

Les effets indésirables possibles de l’Ixprim

Comme tous les médicaments, cet antalgique peut causer des effets indésirables à intensité variable. En effet, si certaines personnes n’y sont pas sujettes, d’autres souffrent de troubles plus ou moins graves.

 

Les effets indésirables les plus fréquents

D’après les chiffres, 10 % des patients qui prennent de l’ixprim souffrent le plus souvent de nausées, de vertige et de somnolence. Leur apparition est due à la présence de tramadol dans le médicament. À noter que cette substance dérivée de l’opium possède une action assez puissante.

 

Les effets indésirables fréquents

Cet antalgique provoque également des effets indésirables assez fréquents, car ils apparaissent chez 1 à 10 % des patients. Ces troubles incluent le :

  • Troubles digestifs, tels que le vomissement, indigestion, ballonnement, la constipation et la diarrhée
  • Bouche sèche
  • Tremblement
  • Douleurs abdominales
  • Maux de tête, céphalées
  • Troubles neurologiques (anxiété, nervosité, euphorie…)
  • Insomnie
  • Démangeaisons,

 

Les effets indésirables peu fréquents

L’ixprim est un médicament assez puissant dont l’action entraîne parfois des troubles graves. Alors, contactez immédiatement votre médecin, si vous souffrez des problèmes suivants, après la prise :

  • Bourdonnements d’oreilles
  • Problèmes neurologiques (hallucination, dépression,…)
  • Troubles du sommeil et cauchemar
  • Problèmes cardiaques (hypertension artérielle, hypotension, palpitations, élévation du rythme cardiaque
  • Difficultés à respirer
  • Douleur ressentie dans la poitrine
  • Bouffées de chaleur inexpliquées
  • Frissons
  • Difficultés à uriner

 

Les effets indésirables rares

Dans de rares cas (moins de 0,1 % des personnes qui en prennent), cet antalgique cause des convulsions. Ces dernières sont dues à la présence de tramadol dans le médicament. Mais, elles peuvent aussi s’accompagner d’un trouble de la vision, d’un malaise, d’une incapacité à coordonner les mouvements, d’éruption cutanée (très grave) voire de délire.

Alors, si vous souffrez de l’un des effets précédents, consultez immédiatement votre médecin. À défaut de consultation, vous risquez de développer d’autres maladies potentiellement mortelles.

 

L’arrêt brutal de l’ixprim

Souffrez-vous des effets secondaires de l’ixprim ? Alors, consultez votre médecin. Ce professionnel vous indiquera les mesures à prendre. Il peut diminuer progressivement le dosage. Évitez d’arrêter brutalement la prise, sinon, vous risquez de développer le syndrome de sevrage. Ce trouble se manifeste par une anxiété sévère, des hallucinations et des sensations de fourmillement dans le domaine des membres.

 

 

Contre-indications de l’Ixprim

L’ixprim contient du tramadol, une substance assez puissante. Par conséquent, sa prise est interdite chez certaines catégories de personnes souffrant de :

  • Intolérance aux opiacés
  • Intoxication ou surdosage dus à des sédatifs, ivresse aiguë ;
  • Insuffisance hépatique sévère
  • Épilepsie (sauf si elle est contrôlée par un traitement)
  • Troubles neurologiques traités avec les IMAO

 

Précaution d’usage

Si vous souffrez des troubles suivants, vous pouvez prendre de l’ixprim. Cependant, le traitement n’est pas sans risque, d’où l’intérêt de suivre les précautions d’usage.

 

Personnes âgées

L’ixprim convient parfaitement aux seniors. Néanmoins, si vous avez plus de 75 ans, votre organisme aura du mal à l’absorber. L’élimination est donc plus lente que chez les sujets adultes. Par conséquent, demandez à votre médecin d’allonger l’intervalle posologique, selon vos besoins. Par contre, si vous souffrez d’insuffisance hépatique ou rénale, ce médicament est fortement interdit.

 

Insuffisance hépatique modérée

Si vous souffrez d’une insuffisance hépatique, la prise d’ixprim est interdite, sauf prescription contraire de votre médecin. Ce professionnel de santé peut vous fournir une dose adaptée, surtout si votre maladie est à un stade modéré.

En revanche, si votre insuffisance hépatique est grave, alors, évitez le traitement. Pour cause, votre organisme est incapable d’éliminer le tramadol contenu dans le médicament. Le traitement risque donc d’aggraver votre maladie.

 

Prise de sédatif

Si vous prenez actuellement des sédatifs de type benzodiazépines, parlez-en à votre médecin. Ce dernier vous prescrit le dosage convenable. Normalement, la dose doit être la plus faible possible. Le traitement doit être le plus court. Par conséquent, l’auto-médication est fortement interdite, car l’association de ces deux médicaments (sédatifs et ixprim) peut provoquer l’apparition de :

  • Sédation
  • Dépression respiratoire
  • Coma
  • Mort

 

Épilepsie

Si vous êtes atteint de l’épilepsie, la prise d’ixprim est fortement interdite. Le tramadol présent dans le médicament peut effectivement entraîner des crises de convulsions, même si vous prenez la dose recommandée sur la notice d’utilisation. Toutefois, si le traitement est indispensable, sollicitez d’abord l’avis de votre médecin. Ce dernier est le seul à pouvoir indiquer le dosage adéquat.

 

Trouble respiratoire du sommeil

En cas d’apnée centrale du sommeil, évitez de prendre de l’ixprim. Ce médicament peut aggraver votre trouble. Mais, si la prise est nécessaire, demandez l’avis de votre médecin. Ce professionnel vous indiquera le dosage et la durée du traitement.

 

Les autres problèmes de santé à ne pas négliger

L’ixprim doit être employé avec précaution, si vous souffrez des troubles suivants :

  • Traumatisme crânien
  • Convulsions
  • Dysfonctionnement des voies biliaires
  • Troubles respiratoires
  • Problème de la conscience
  • État de choc
  • Augmentation de la pression intracrânienne

 

Surdosage

Ce médicament est l’association de deux antalgiques. En cas de surdosage, les signes incluent les symptômes liés à l’intoxication au paracétamol et au tramadol.

 

Signes causés par le surdosage en chlorhydrate de tramadol

Comme l’ixprim agit directement au niveau du cerveau, les signes de surdosage sont similaires à ceux des antalgiques à action centrale (opioïdes). Vous risquez dans ce cas de souffrir de vomissement, de myosis, de troubles de la conscience, de problèmes respiratoires, voire du coma.

 

Symptômes d’un surdosage en paracétamol

Le surdosage en paracétamol affecte principalement les enfants. Mais il touche aussi les adultes et les personnes âgées au bout de 24 heures d’ingestion. Il se manifeste par les signes suivants :

  • Pâleur
  • Vomissement
  • Anorexie
  • Nausée
  • Douleur abdominale
  • Problème hépatique (après ingestion de 10 g de paracétamol)
  • Altération de l’absorption des glucides

À défaut de prise en charge, le surdosage se complique conduisant des problèmes encore plus graves. Par exemple, l’insuffisance hépatique peut causer encéphalopathie, le coma, voire la mort. La consommation excessive de paracétamol est aussi responsable de l’insuffisance rénale aiguë avec nécrose tubulaire.

 

Les bons gestes à adopter en cas de surdosage

Le surdosage à l’ixprim est un problème grave, à ne pas prendre à la légère. Si vous êtes victime, rendez-vous immédiatement aux urgences, afin de recevoir le traitement approprié. Normalement, votre médecin vous place sous surveillance médicale.

Si le surdosage est confirmé, votre médecin peut vous prescrire :

  • Lavage gastrique qui consiste à éliminer les substances dans votre organisme. Cette technique est réalisée si vous avez ingéré 7.5g d’ixprim dans les 4 heures précédentes.
  • Prise de méthionine ou de N acétylcystéine IV (NAC) par voie orale 2 jours après le surdosage
  • Administration intraveineuse de NAC, si vous arrivez 8 heures après l’intoxication en urgence.

 

L’utilisation de l’ixprim pendant la grossesse et l’allaitement est-elle sans risque ?

Même si l’ixprim soulage les douleurs modérées et intenses, il est interdit chez les femmes enceintes et allaitantes.

 

Grossesse

Si le paracétamol contenu dans l’ixprim ne présente aucun risque chez une femme enceinte, ce n’est pas le cas du chlorhydrate de tramadol. Cette substance dérivée des opiacés est dangereuse pendant la grossesse.

En cas d’usage durant cette période, le fœtus subit passivement les effets de l’ixprim consommés par la mère. À sa naissance, il peut être affecté par le syndrome de sevrage chez le nouveau-né. Ce dernier correspond à un ensemble de signes cliniques qui touchent les nourrissons exposés à des substances dangereuses.

 

Allaitement

Comme l’ixprim associe deux antalgiques, il est donc interdit en cas d’allaitement. Si la prise est indispensable, alors, interrompez l’allaitement. Pour cause, 0,1 % de la dose de tramadol passe dans le lait maternel. En d’autres termes, si vous avez pris 400 mg, alors, votre bébé ingèrera environ 3 %. Pourtant, cette substance est dangereuse pour sa santé.

 

Fertilité

À état actuel, l’ixprim est sans effet sur la fertilité, du moins si l’on se base sur les études effectuées chez l’animal.

 

Comment conserver l’Ixprim ?

 

La forme d’ixprim

Cet antalgique est en vente sous forme de comprimé effervescent qui possède un arôme orange. Mais vous pouvez aussi vous procurer sa version comprimée de couleur jaune. Dans les deux cas, l’ixprim n’est pas en vente libre dans les pharmacies. Pour vous en procurer, vous devrez présenter une ordonnance médicale.

 

La conservation de l’ixprim

L’ixprim est facile à conserver. Toutefois, respectez les précautions suivantes :

  • Conserver hors de la portée des enfants
  • Employer le médicament avant la date de péremption qui est mentionnée sur la plaquette ou sur la boîte
  • Éviter de jeter l’ixprim dans les égouts ou les ordures ménagères pour mieux protéger l’environnement.

 

Les interactions de l’Ixprim avec d’autres médicaments

L’ixprim peut diminuer l’action de certains médicaments. Alors, avant la prise, renseignez-vous sur les éventuelles interactions.

 

L’association interdite

Actuellement, si vous prenez des antidépresseurs ou IMAO (les inhibiteurs de la monoamine-oxydase) alors, évitez d’administrer d’ixprim. L’interaction peut causer le syndrome sérotoninergique, à l’origine de :

  • Diarrhée
  • Tachycardie
  • Tremblement
  • Hyperhidrose
  • État confusionnel
  • Coma

Si la prise d’ixprim est indispensable (pour des raisons de santé), commencez votre traitement 2 semaines après l’arrêt des antidépresseurs.

 

Les associations déconseillées

Le traitement à base d’ixprim interagit avec d’autres substances. Pour le rendre efficace, sans diminuer son efficacité évitez de :

  • Boire de l’alcool durant les prises
  • Prendre des médicaments contenant de carbamazépine et autres inducteurs enzymatiques qui peuvent diminuer l’action de l’ixprim.
  • Ingérer des agonistes-antagonistes morphiniques (buprénorphine, nalbuphine, pentazocine). Ces substances risquent de réduire l’effet de l’antalgique.

 

Les mesures à prendre pour éviter l’interaction

L’association entre deux médicaments incompatibles est dangereuse. Parfois, elle peut même engager votre pronostic vital. Par conséquent, avant de débuter la prise d’ixprim, informez votre médecin de votre traitement actuel, surtout s’il est à base de :

  • Anticoagulant pris par voie orale
  • Sédatif
  • Médicaments de la famille des opiacés
  • Antidépresseur
  • Antimigraineux du groupe des triptans, ou des médicaments à base de bupropion et ondansétron

Bien évidemment, vous devez adopter le même geste si vous suivez une thérapie à base de plantes médicinales. Ces dernières peuvent contenir des substances qui interagissent avec l’ixprim. Cette mise en garde est valable, si vous devez subir une anesthésie.

 

Taux de remboursement de l’Ixprim

Comme l’ixprim soulage les douleurs modérées et intenses, il traite de nombreuses pathologies ou d’accidents (chroniques ou aiguës). Par conséquent, il est remboursé par l’assurance-maladie. La sécurité sociale rembourse votre achat à un taux de 65 %, quelle que soit la forme de votre médicament. Ce taux élevé s’explique par son classement. Cet antalgique est catégorisé en vignette blanche dont le Service médical rendu (SRM) est majeur.

Quant aux restes (35 %) ils sont à votre charge. Souhaitez-vous profiter d’un remboursement intégral ? Souscrivez dès maintenant à une assurance santé. Cette dernière vous propose de payer les restes à charge.

 

Conclusion

L’ixprim fait partie des antalgiques de la classe II. En tant que tel, il soulage donc les douleurs de nature modérées et intenses qui ne sont pas apaisées par les médicaments de niveau I. Cependant, il doit être utilisé avec précaution. Avant la prise, sollicitez l’avis de votre médecin. Ce professionnel vous indiquera le dosage et la posologie adaptée à votre état de santé. En plus, cet antalgique est remboursé à hauteur de 65 % par la sécurité sociale. Pour bénéficier d’un remboursement intégral, souscrivez donc à une assurance santé. Santors vous aide à trouver la meilleure.

 

 

Tout sur l’ixprim

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Sommaire

Pour quelles pathologies l’Ixprim est-il prescrite ?

Votre médecin vous prescrit d’ixprim afin de soulager vos douleurs jugées modérées à intenses, quelle que soit la maladie dont vous souffrez.

 

 

Un antalgique de palier II

L’ixprim n’est pas un médicament de premier choix, mais un antalgique de nécessité dès lors que votre traitement initial est inefficace. Votre médecin le prescrit lorsque les antalgiques de classe I (Doliprane, Dafalgan, Aspirine, etc.) sont incapables de soulager vos douleurs.

D’après la classification de l’OMS, il fait partie des antalgiques de palier II. C’est donc un opioïde (faible) associé à du paracétamol qui empêche la transmission de la douleur. Son action est similaire à celle de la morphine. En effet, il agit immédiatement sur le système nerveux central, notamment sur la perception de la douleur. Mais à la différence des médicaments du niveau 3 (les plus forts), il possède une puissance modérée.

 

Douleurs modérées à intenses

Ressentez-vous de la douleur ? Vous n’êtes pas seul, car 64 % des patients sont concernés. Elle fait partie des premières consultations médicales. Mais concrètement : qu’est-ce que la douleur ? La réponse est moins évidente, car la douleur est un phénomène multidimensionnel qui associe plusieurs éléments (psychiques, physiologiques, émotionnelles et environnementales).

Néanmoins, en 1979, l’Association Internationale pour l’étude de la douleur (IASP : International Association for the Study of Pain) essaie de la décrire comme une expérience émotionnelle et sensorielle désagréable. Elle active tous les récepteurs (peau, muscles, organes, os, etc.), les nerfs (qui s’occupe de la transmettre au cerveau) et le système nerveux central (à l’origine des réactions et des émotions). Heureusement, la douleur peut être atténuée grâce à des antalgiques.

On peut classifier le niveau de douleurs, en fonction des maladies en cause. Elle est donc qualifiée de « modérée à intense », dès lors qu’elle n’est pas soulagée par les antalgiques de type 1 (Doliprane, Dafalgan, …). C’est le cas de :

Maux de tête, céphalées

  • Suites opératoires
  • Polyarthrite rhumatoïde
  • Sciatique
  • Arthrose
  • Douleurs articulaires
  • Rhumatisme psoriasique
  • Maux de dos
  • Lombaire
  • Cancer…

Bien évidemment, votre médecin peut vous prescrire de l’ixprim, même si vous souffrez d’une maladie qui ne figure pas dans cette liste. Ce médicament est indiqué dès lors que votre niveau de douleurs n’est plus soulagé par les antalgiques de la classe 1.

 

Mode d’administration et posologie de l’Ixprim

Cet antalgique contient des principes actifs assez puissants, d’où l’intérêt de respecter la posologie et le mode d’administration indiqué dans la notice.

 

Quelle est la posologie indiquée ?

Comme l’ixprim est un dérivé des opiacés, il est interdit aux enfants de moins de 12 ans. Sa prise est donc réservée aux adultes et aux adolescents. 2 comprimés, l’équivalent de 75 mg chlorhydrate de tramadol et 650 mg de paracétamol sont largement suffisants. Cependant, votre médecin peut vous prescrire une dose supplémentaire, si besoin. Dans les deux cas, respectez toujours un délai d’intervalle de 6 heures entre les prises, sans dépasser 8 comprimés par jour.

 

Comment prendre l’ixprim ?

L’ixprim est administré par voie orale en cas de besoin. Alors, prenez vos comprimés avec un verre d’eau en cas de douleurs, avant ou après le repas. Néanmoins, pour assurer son efficacité, évitez de :

  • Fractionner ou mâcher vos médicaments
  • Boire de l’alcool durant la prise
  • Augmenter la dose, sans en parler avec votre médecin. Le surdosage peut être à l’origine d’une atteinte hépatique dont les symptômes surviennent ultérieurement
  • Doubler la dose en cas d’oubli. Cette mauvaise habitude augmente le risque d’intoxication médicamenteuse.
  • Arrêter brusquement votre traitement, sans solliciter l’avis de votre médecin.

 

Un risque de dépendance ?

Cet antalgique contient un opiacé à faible dose. Certes, il soulage vos douleurs, mais à long terme, il peut entraîner une dépendance. Ce risque augmente si vous avez des antécédents de dépendances médicamenteuses. Alors, pour éviter cette situation, préférez un traitement court. Respectez également la dose prescrite. Si le dosage actuel ne soulage pas vos douleurs, parlez-en à votre médecin, avant d’augmenter la prise.

 

Les effets indésirables possibles de l’Ixprim

Comme tous les médicaments, cet antalgique peut causer des effets indésirables à intensité variable. En effet, si certaines personnes n’y sont pas sujettes, d’autres souffrent de troubles plus ou moins graves.

 

Les effets indésirables les plus fréquents

D’après les chiffres, 10 % des patients qui prennent de l’ixprim souffrent le plus souvent de nausées, de vertige et de somnolence. Leur apparition est due à la présence de tramadol dans le médicament. À noter que cette substance dérivée de l’opium possède une action assez puissante.

 

Les effets indésirables fréquents

Cet antalgique provoque également des effets indésirables assez fréquents, car ils apparaissent chez 1 à 10 % des patients. Ces troubles incluent le :

  • Troubles digestifs, tels que le vomissement, indigestion, ballonnement, la constipation et la diarrhée
  • Bouche sèche
  • Tremblement
  • Douleurs abdominales
  • Maux de tête, céphalées
  • Troubles neurologiques (anxiété, nervosité, euphorie…)
  • Insomnie
  • Démangeaisons,

 

Les effets indésirables peu fréquents

L’ixprim est un médicament assez puissant dont l’action entraîne parfois des troubles graves. Alors, contactez immédiatement votre médecin, si vous souffrez des problèmes suivants, après la prise :

  • Bourdonnements d’oreilles
  • Problèmes neurologiques (hallucination, dépression,…)
  • Troubles du sommeil et cauchemar
  • Problèmes cardiaques (hypertension artérielle, hypotension, palpitations, élévation du rythme cardiaque
  • Difficultés à respirer
  • Douleur ressentie dans la poitrine
  • Bouffées de chaleur inexpliquées
  • Frissons
  • Difficultés à uriner

 

Les effets indésirables rares

Dans de rares cas (moins de 0,1 % des personnes qui en prennent), cet antalgique cause des convulsions. Ces dernières sont dues à la présence de tramadol dans le médicament. Mais, elles peuvent aussi s’accompagner d’un trouble de la vision, d’un malaise, d’une incapacité à coordonner les mouvements, d’éruption cutanée (très grave) voire de délire.

Alors, si vous souffrez de l’un des effets précédents, consultez immédiatement votre médecin. À défaut de consultation, vous risquez de développer d’autres maladies potentiellement mortelles.

 

L’arrêt brutal de l’ixprim

Souffrez-vous des effets secondaires de l’ixprim ? Alors, consultez votre médecin. Ce professionnel vous indiquera les mesures à prendre. Il peut diminuer progressivement le dosage. Évitez d’arrêter brutalement la prise, sinon, vous risquez de développer le syndrome de sevrage. Ce trouble se manifeste par une anxiété sévère, des hallucinations et des sensations de fourmillement dans le domaine des membres.

 

 

Contre-indications de l’Ixprim

L’ixprim contient du tramadol, une substance assez puissante. Par conséquent, sa prise est interdite chez certaines catégories de personnes souffrant de :

  • Intolérance aux opiacés
  • Intoxication ou surdosage dus à des sédatifs, ivresse aiguë ;
  • Insuffisance hépatique sévère
  • Épilepsie (sauf si elle est contrôlée par un traitement)
  • Troubles neurologiques traités avec les IMAO

 

Précaution d’usage

Si vous souffrez des troubles suivants, vous pouvez prendre de l’ixprim. Cependant, le traitement n’est pas sans risque, d’où l’intérêt de suivre les précautions d’usage.

 

Personnes âgées

L’ixprim convient parfaitement aux seniors. Néanmoins, si vous avez plus de 75 ans, votre organisme aura du mal à l’absorber. L’élimination est donc plus lente que chez les sujets adultes. Par conséquent, demandez à votre médecin d’allonger l’intervalle posologique, selon vos besoins. Par contre, si vous souffrez d’insuffisance hépatique ou rénale, ce médicament est fortement interdit.

 

Insuffisance hépatique modérée

Si vous souffrez d’une insuffisance hépatique, la prise d’ixprim est interdite, sauf prescription contraire de votre médecin. Ce professionnel de santé peut vous fournir une dose adaptée, surtout si votre maladie est à un stade modéré.

En revanche, si votre insuffisance hépatique est grave, alors, évitez le traitement. Pour cause, votre organisme est incapable d’éliminer le tramadol contenu dans le médicament. Le traitement risque donc d’aggraver votre maladie.

 

Prise de sédatif

Si vous prenez actuellement des sédatifs de type benzodiazépines, parlez-en à votre médecin. Ce dernier vous prescrit le dosage convenable. Normalement, la dose doit être la plus faible possible. Le traitement doit être le plus court. Par conséquent, l’auto-médication est fortement interdite, car l’association de ces deux médicaments (sédatifs et ixprim) peut provoquer l’apparition de :

  • Sédation
  • Dépression respiratoire
  • Coma
  • Mort

 

Épilepsie

Si vous êtes atteint de l’épilepsie, la prise d’ixprim est fortement interdite. Le tramadol présent dans le médicament peut effectivement entraîner des crises de convulsions, même si vous prenez la dose recommandée sur la notice d’utilisation. Toutefois, si le traitement est indispensable, sollicitez d’abord l’avis de votre médecin. Ce dernier est le seul à pouvoir indiquer le dosage adéquat.

 

Trouble respiratoire du sommeil

En cas d’apnée centrale du sommeil, évitez de prendre de l’ixprim. Ce médicament peut aggraver votre trouble. Mais, si la prise est nécessaire, demandez l’avis de votre médecin. Ce professionnel vous indiquera le dosage et la durée du traitement.

 

Les autres problèmes de santé à ne pas négliger

L’ixprim doit être employé avec précaution, si vous souffrez des troubles suivants :

  • Traumatisme crânien
  • Convulsions
  • Dysfonctionnement des voies biliaires
  • Troubles respiratoires
  • Problème de la conscience
  • État de choc
  • Augmentation de la pression intracrânienne

 

Surdosage

Ce médicament est l’association de deux antalgiques. En cas de surdosage, les signes incluent les symptômes liés à l’intoxication au paracétamol et au tramadol.

 

Signes causés par le surdosage en chlorhydrate de tramadol

Comme l’ixprim agit directement au niveau du cerveau, les signes de surdosage sont similaires à ceux des antalgiques à action centrale (opioïdes). Vous risquez dans ce cas de souffrir de vomissement, de myosis, de troubles de la conscience, de problèmes respiratoires, voire du coma.

 

Symptômes d’un surdosage en paracétamol

Le surdosage en paracétamol affecte principalement les enfants. Mais il touche aussi les adultes et les personnes âgées au bout de 24 heures d’ingestion. Il se manifeste par les signes suivants :

  • Pâleur
  • Vomissement
  • Anorexie
  • Nausée
  • Douleur abdominale
  • Problème hépatique (après ingestion de 10 g de paracétamol)
  • Altération de l’absorption des glucides

À défaut de prise en charge, le surdosage se complique conduisant des problèmes encore plus graves. Par exemple, l’insuffisance hépatique peut causer encéphalopathie, le coma, voire la mort. La consommation excessive de paracétamol est aussi responsable de l’insuffisance rénale aiguë avec nécrose tubulaire.

 

Les bons gestes à adopter en cas de surdosage

Le surdosage à l’ixprim est un problème grave, à ne pas prendre à la légère. Si vous êtes victime, rendez-vous immédiatement aux urgences, afin de recevoir le traitement approprié. Normalement, votre médecin vous place sous surveillance médicale.

Si le surdosage est confirmé, votre médecin peut vous prescrire :

  • Lavage gastrique qui consiste à éliminer les substances dans votre organisme. Cette technique est réalisée si vous avez ingéré 7.5g d’ixprim dans les 4 heures précédentes.
  • Prise de méthionine ou de N acétylcystéine IV (NAC) par voie orale 2 jours après le surdosage
  • Administration intraveineuse de NAC, si vous arrivez 8 heures après l’intoxication en urgence.

 

L’utilisation de l’ixprim pendant la grossesse et l’allaitement est-elle sans risque ?

Même si l’ixprim soulage les douleurs modérées et intenses, il est interdit chez les femmes enceintes et allaitantes.

 

Grossesse

Si le paracétamol contenu dans l’ixprim ne présente aucun risque chez une femme enceinte, ce n’est pas le cas du chlorhydrate de tramadol. Cette substance dérivée des opiacés est dangereuse pendant la grossesse.

En cas d’usage durant cette période, le fœtus subit passivement les effets de l’ixprim consommés par la mère. À sa naissance, il peut être affecté par le syndrome de sevrage chez le nouveau-né. Ce dernier correspond à un ensemble de signes cliniques qui touchent les nourrissons exposés à des substances dangereuses.

 

Allaitement

Comme l’ixprim associe deux antalgiques, il est donc interdit en cas d’allaitement. Si la prise est indispensable, alors, interrompez l’allaitement. Pour cause, 0,1 % de la dose de tramadol passe dans le lait maternel. En d’autres termes, si vous avez pris 400 mg, alors, votre bébé ingèrera environ 3 %. Pourtant, cette substance est dangereuse pour sa santé.

 

Fertilité

À état actuel, l’ixprim est sans effet sur la fertilité, du moins si l’on se base sur les études effectuées chez l’animal.

 

Comment conserver l’Ixprim ?

 

La forme d’ixprim

Cet antalgique est en vente sous forme de comprimé effervescent qui possède un arôme orange. Mais vous pouvez aussi vous procurer sa version comprimée de couleur jaune. Dans les deux cas, l’ixprim n’est pas en vente libre dans les pharmacies. Pour vous en procurer, vous devrez présenter une ordonnance médicale.

 

La conservation de l’ixprim

L’ixprim est facile à conserver. Toutefois, respectez les précautions suivantes :

  • Conserver hors de la portée des enfants
  • Employer le médicament avant la date de péremption qui est mentionnée sur la plaquette ou sur la boîte
  • Éviter de jeter l’ixprim dans les égouts ou les ordures ménagères pour mieux protéger l’environnement.

 

Les interactions de l’Ixprim avec d’autres médicaments

L’ixprim peut diminuer l’action de certains médicaments. Alors, avant la prise, renseignez-vous sur les éventuelles interactions.

 

L’association interdite

Actuellement, si vous prenez des antidépresseurs ou IMAO (les inhibiteurs de la monoamine-oxydase) alors, évitez d’administrer d’ixprim. L’interaction peut causer le syndrome sérotoninergique, à l’origine de :

  • Diarrhée
  • Tachycardie
  • Tremblement
  • Hyperhidrose
  • État confusionnel
  • Coma

Si la prise d’ixprim est indispensable (pour des raisons de santé), commencez votre traitement 2 semaines après l’arrêt des antidépresseurs.

 

Les associations déconseillées

Le traitement à base d’ixprim interagit avec d’autres substances. Pour le rendre efficace, sans diminuer son efficacité évitez de :

  • Boire de l’alcool durant les prises
  • Prendre des médicaments contenant de carbamazépine et autres inducteurs enzymatiques qui peuvent diminuer l’action de l’ixprim.
  • Ingérer des agonistes-antagonistes morphiniques (buprénorphine, nalbuphine, pentazocine). Ces substances risquent de réduire l’effet de l’antalgique.

 

Les mesures à prendre pour éviter l’interaction

L’association entre deux médicaments incompatibles est dangereuse. Parfois, elle peut même engager votre pronostic vital. Par conséquent, avant de débuter la prise d’ixprim, informez votre médecin de votre traitement actuel, surtout s’il est à base de :

  • Anticoagulant pris par voie orale
  • Sédatif
  • Médicaments de la famille des opiacés
  • Antidépresseur
  • Antimigraineux du groupe des triptans, ou des médicaments à base de bupropion et ondansétron

Bien évidemment, vous devez adopter le même geste si vous suivez une thérapie à base de plantes médicinales. Ces dernières peuvent contenir des substances qui interagissent avec l’ixprim. Cette mise en garde est valable, si vous devez subir une anesthésie.

 

Taux de remboursement de l’Ixprim

Comme l’ixprim soulage les douleurs modérées et intenses, il traite de nombreuses pathologies ou d’accidents (chroniques ou aiguës). Par conséquent, il est remboursé par l’assurance-maladie. La sécurité sociale rembourse votre achat à un taux de 65 %, quelle que soit la forme de votre médicament. Ce taux élevé s’explique par son classement. Cet antalgique est catégorisé en vignette blanche dont le Service médical rendu (SRM) est majeur.

Quant aux restes (35 %) ils sont à votre charge. Souhaitez-vous profiter d’un remboursement intégral ? Souscrivez dès maintenant à une assurance santé. Cette dernière vous propose de payer les restes à charge.

 

Conclusion

L’ixprim fait partie des antalgiques de la classe II. En tant que tel, il soulage donc les douleurs de nature modérées et intenses qui ne sont pas apaisées par les médicaments de niveau I. Cependant, il doit être utilisé avec précaution. Avant la prise, sollicitez l’avis de votre médecin. Ce professionnel vous indiquera le dosage et la posologie adaptée à votre état de santé. En plus, cet antalgique est remboursé à hauteur de 65 % par la sécurité sociale. Pour bénéficier d’un remboursement intégral, souscrivez donc à une assurance santé. Santors vous aide à trouver la meilleure.

 

 

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