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Qu’est-qu’une infection à pneumocoque ?

Vous ne nous connaissez pas encore ?

Santors est votre courtier spécialisé en assurance santé senior, prévoyance ainsi qu'en mutuelle de vos amis à 4 pattes. Nous sommes basés à Carros, à 10 minutes de Nice. Nous avons la chance d’être en terre et mer et nos clients aujourd’hui nous font confiance aux 5 coins de l’hexagone.

Nous avons également la chance de travailler avec les leaders de l’assurance santé et nous comparons, pour vous, plusieurs centaines d’offres.

Comparateur ? Non bien plus ! Santors vous accompagne dans votre démarche afin de vous dire si vos contrats actuels sont bien placés, mais surtout s'ils correspondent à vos besoins. Nous analysons ensuite le marché et vous proposons l’offre la mieux adaptée. En clair, nous faisons du sur-mesure !

L’assurance santé est la couverture la plus importante pour un particulier, il ne faut pas la négliger. Alors, allez-y !

Sommaire

Comment attrape-t-on une infection à pneumocoque ?

Les pneumocoques se transmettent par contact direct et étroit avec la personne infectée ou porteuse, en particulier lors de baisers, de toux ou d’éternuements.

Lorsqu’une personne malade tousse ou éternue. Elle émet des milliers microgouttelettes de salive dans l’air. Elles sont chargées en microorganismes pathogènes. Ces microgouttelettes sont ensuite absorbées par d’autres personnes saines. C’est ainsi que les bactéries se retrouvent dans un nouvel organisme. Elles commencent dès lors à se multiplier et à infecter les organes.

 

Quels sont les facteurs à risque ?

Certains facteurs peuvent augmenter les risques d’attraper une infection à pneumocoque.

  • L’âge : en effet les aînés possèdent souvent une immunité réduite, ils sont donc susceptibles d’être infectées par les pathogènes telles que le steptococcus pneumonia.  Les enfants de moins de 5 ans sont également sujets à ces pathologies.
  • La fumée de la cigarette, elle aussi, altère les cellules des poumons et diminue la réponse immunitaire de l’organisme favorisant les diverses infections à pneumocoques.
  • La prise de médicaments immunosuppresseurs en cas de maladie chronique, de greffes d’organes ou encore de chimiothérapie.

Pour les personnes se trouvant dans les situations citées ci dessus. La vaccination contre le pneumocoque est fortement recommandé.

 

Quelles sont les maladies qui favorisent les infections ? 

Certaines maladies favorisent l’apparition d’infections à pneumocoques.

Les personnes souffrant d’une maladie réduisant la capacité immunitaire comme le diabète de type 2, le syndrome d'immunodéficience acquise (SIDA), un cancer demeurent susceptibles d’attraper plus facilement les maladies infectieuses.

Les personnes ayant des maladies auto-immunes (les cellules du système immunitaire s’attaquent aux organes sains de l’organisme) comme la maladie de Crohn, la rectocolite, la sclérose en plaques, les maladies inflammatoires chroniques de l’intestin (MICI).

 

Quand consulter un médecin ?

Vous devez vous rendre immédiatement chez un professionnel de santé si vous avez un de ces symptômes :

  • De la fièvre : c’est un symptôme qui indique que le corps est sous la menace d’un pathogène. Elle fait partie de la panoplie de la réponse immunitaire chez l’humain. Il arrive également que de fortes transpirations apparaissent spontanément.
  • De la toux sèche ou grasse : c’est un réflexe déclenché pour protéger les voies aériennes. Il sert à enlever les corps obstruant lesdites voies.
  • De l’expectoration : il s’agit de rejet de crachats pathologiques venant des voies broncho-pulmonaires. Ces sécrétions renferment du pus, des bactéries (haute contamination) et bien d’autres éléments biologiques.
  • Des céphalées (mal de tête). Les bactéries provoquent le plus souvent une réponse désordonnée du système nerveux. Cela engendre par la suite des migraines de diverses intensités. En cas de méningite, des convulsions peuvent même apparaître (contractions incontrôlés des muscles).
  • Des frissons : c’est une réaction du corps pour stimuler la circulation de fluide organique dans le corps.
  • Un essoufflement rapide : au moindre effort, le malade manque d’oxygène et accentue sa respiration. Les bactéries réduisent grandement la capacité du poumon dans les échanges gazeux.
  • Une asthénie : les pneumocoques attaquent des cellules saines ce qui cause un affaiblissement général de l’organisme.
  • Une douleur forte au niveau du thorax : les poumons sont ravagés par les bactéries ce qui entraîne une stimulation des terminaisons nerveuses.
  • Une perte d’appétit : le patient n’a plus envie de s’alimenter et peut souffrir d’une anorexie sévère.

 

Quelles sont les complications liées à une infection à pneumocoque ?

Une infection à pneumocoque  est une situation dangereuse pour le corps, aussi des problèmes peuvent apparaître comme :

 

La surdité 

Si les bactéries endommagent l’oreille, une surdité irréversible peut être observée. La plupart des victimes de cette complication sont des enfants.

 

Des dommages permanents sur le cerveau  

Il arrive également que les infections à pneumocoques altèrent les capacités cognitives. Les bactéries s’attaquent à des cellules du système nerveux causant ainsi des troubles importants comme des convulsions ou des pertes de connaissance.

 

L’épanchement pleural 

L’infection à pneumocoque doit être traité très rapidement pour éviter qu’elle ne dégénère en  un épanchement pleural. Une surinfection qui provoque une accumulation de liquide biologique entre les enveloppes des poumons et potentiellement mortelle.

 

L’abcès du poumon 

Dans de rare cas, une  perforation des poumons peut aussi survenir. Le trouble provoque souvent une détresse respiratoire. Sans les soins adaptés, le pronostic vital est engagé.

 

Quels remèdes de grand-mère pour soulager les symptômes ?

Il existe des moyens  « doux » qui peuvent soulager temporairement les symptômes d’une infection à pneumocoque.

 

Les tisanes 

  • La tisane à la camomille : cette solution naturelle renforce le système immunitaire. Elle possède également des propriétés antiparasitaires et antivirales. Elle consiste à infuser les fleurs de la camomille dans l’eau bouillante pendant 10 minutes. À boire deux tasses par jour jusqu’à la disparition des symptômes.
  • La tisane avec du miel et citron : il s’agit d’un breuvage connu pour ses vertus antibactériennes. De plus, cette solution permet de réhydrater et de nourrir l’organisme. Pour la préparation, chauffez de l’eau et mettez-le dans une tasse. Ajouter une cuillère de miel et un demi-citron. Mélangez pendant quelques minutes et le tour est joué. Filtrez et buvez la mixture.

 

Les jus 

  • Le jus de carotte : celui-ci est conseillé en cas d’infection en raison de sa composition. Effectivement, la carotte contient de la vitamine A qui est bénéfique pour le système immunitaire en général. Mais pour en bénéficier, vous devrez boire au moins 1 verre de ce breuvage tous les jours jusqu’à amélioration.
  • Le jus de tomate : c’est un légume/fruit plein de vitamine C. Il apporte donc de l’énergie à l’organisme meurtri par le pneumocoque. Il est d’ailleurs conseillé d’en consommer au quotidien durant la convalescence.

 

Quelle prise en charge de l’infection à pneumocoques par l’Assurance maladie ?

Une infection à pneumocoque reste une pathologie dangereuse. 

Raison pour laquelle les interventions médicales sont exhaustives. Pour alléger les charges, vous devez souscrire à une assurance adaptée à votre situation.

Aussi, l’utilisation d’un comparateur comme Santors peut vous faciliter les tâches. En quelques minutes, vous aurez des informations sur les meilleures assurances du moment avec toutes les garanties. En résumé, n’hésitez pas à prendre une assurance maladie disposant des garanties en cas d’infection à pneumocoque. C’est une manière d’anticiper l’incertitude de l’avenir.

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L’assurance santé est la couverture la plus importante pour un particulier, il ne faut pas la négliger. Alors, allez-y !

Sommaire

Comment attrape-t-on une infection à pneumocoque ?

Les pneumocoques se transmettent par contact direct et étroit avec la personne infectée ou porteuse, en particulier lors de baisers, de toux ou d’éternuements.

Lorsqu’une personne malade tousse ou éternue. Elle émet des milliers microgouttelettes de salive dans l’air. Elles sont chargées en microorganismes pathogènes. Ces microgouttelettes sont ensuite absorbées par d’autres personnes saines. C’est ainsi que les bactéries se retrouvent dans un nouvel organisme. Elles commencent dès lors à se multiplier et à infecter les organes.

 

Quels sont les facteurs à risque ?

Certains facteurs peuvent augmenter les risques d’attraper une infection à pneumocoque.

  • L’âge : en effet les aînés possèdent souvent une immunité réduite, ils sont donc susceptibles d’être infectées par les pathogènes telles que le steptococcus pneumonia.  Les enfants de moins de 5 ans sont également sujets à ces pathologies.
  • La fumée de la cigarette, elle aussi, altère les cellules des poumons et diminue la réponse immunitaire de l’organisme favorisant les diverses infections à pneumocoques.
  • La prise de médicaments immunosuppresseurs en cas de maladie chronique, de greffes d’organes ou encore de chimiothérapie.

Pour les personnes se trouvant dans les situations citées ci dessus. La vaccination contre le pneumocoque est fortement recommandé.

 

Quelles sont les maladies qui favorisent les infections ? 

Certaines maladies favorisent l’apparition d’infections à pneumocoques.

Les personnes souffrant d’une maladie réduisant la capacité immunitaire comme le diabète de type 2, le syndrome d'immunodéficience acquise (SIDA), un cancer demeurent susceptibles d’attraper plus facilement les maladies infectieuses.

Les personnes ayant des maladies auto-immunes (les cellules du système immunitaire s’attaquent aux organes sains de l’organisme) comme la maladie de Crohn, la rectocolite, la sclérose en plaques, les maladies inflammatoires chroniques de l’intestin (MICI).

 

Quand consulter un médecin ?

Vous devez vous rendre immédiatement chez un professionnel de santé si vous avez un de ces symptômes :

  • De la fièvre : c’est un symptôme qui indique que le corps est sous la menace d’un pathogène. Elle fait partie de la panoplie de la réponse immunitaire chez l’humain. Il arrive également que de fortes transpirations apparaissent spontanément.
  • De la toux sèche ou grasse : c’est un réflexe déclenché pour protéger les voies aériennes. Il sert à enlever les corps obstruant lesdites voies.
  • De l’expectoration : il s’agit de rejet de crachats pathologiques venant des voies broncho-pulmonaires. Ces sécrétions renferment du pus, des bactéries (haute contamination) et bien d’autres éléments biologiques.
  • Des céphalées (mal de tête). Les bactéries provoquent le plus souvent une réponse désordonnée du système nerveux. Cela engendre par la suite des migraines de diverses intensités. En cas de méningite, des convulsions peuvent même apparaître (contractions incontrôlés des muscles).
  • Des frissons : c’est une réaction du corps pour stimuler la circulation de fluide organique dans le corps.
  • Un essoufflement rapide : au moindre effort, le malade manque d’oxygène et accentue sa respiration. Les bactéries réduisent grandement la capacité du poumon dans les échanges gazeux.
  • Une asthénie : les pneumocoques attaquent des cellules saines ce qui cause un affaiblissement général de l’organisme.
  • Une douleur forte au niveau du thorax : les poumons sont ravagés par les bactéries ce qui entraîne une stimulation des terminaisons nerveuses.
  • Une perte d’appétit : le patient n’a plus envie de s’alimenter et peut souffrir d’une anorexie sévère.

 

Quelles sont les complications liées à une infection à pneumocoque ?

Une infection à pneumocoque  est une situation dangereuse pour le corps, aussi des problèmes peuvent apparaître comme :

 

La surdité 

Si les bactéries endommagent l’oreille, une surdité irréversible peut être observée. La plupart des victimes de cette complication sont des enfants.

 

Des dommages permanents sur le cerveau  

Il arrive également que les infections à pneumocoques altèrent les capacités cognitives. Les bactéries s’attaquent à des cellules du système nerveux causant ainsi des troubles importants comme des convulsions ou des pertes de connaissance.

 

L’épanchement pleural 

L’infection à pneumocoque doit être traité très rapidement pour éviter qu’elle ne dégénère en  un épanchement pleural. Une surinfection qui provoque une accumulation de liquide biologique entre les enveloppes des poumons et potentiellement mortelle.

 

L’abcès du poumon 

Dans de rare cas, une  perforation des poumons peut aussi survenir. Le trouble provoque souvent une détresse respiratoire. Sans les soins adaptés, le pronostic vital est engagé.

 

Quels remèdes de grand-mère pour soulager les symptômes ?

Il existe des moyens  « doux » qui peuvent soulager temporairement les symptômes d’une infection à pneumocoque.

 

Les tisanes 

  • La tisane à la camomille : cette solution naturelle renforce le système immunitaire. Elle possède également des propriétés antiparasitaires et antivirales. Elle consiste à infuser les fleurs de la camomille dans l’eau bouillante pendant 10 minutes. À boire deux tasses par jour jusqu’à la disparition des symptômes.
  • La tisane avec du miel et citron : il s’agit d’un breuvage connu pour ses vertus antibactériennes. De plus, cette solution permet de réhydrater et de nourrir l’organisme. Pour la préparation, chauffez de l’eau et mettez-le dans une tasse. Ajouter une cuillère de miel et un demi-citron. Mélangez pendant quelques minutes et le tour est joué. Filtrez et buvez la mixture.

 

Les jus 

  • Le jus de carotte : celui-ci est conseillé en cas d’infection en raison de sa composition. Effectivement, la carotte contient de la vitamine A qui est bénéfique pour le système immunitaire en général. Mais pour en bénéficier, vous devrez boire au moins 1 verre de ce breuvage tous les jours jusqu’à amélioration.
  • Le jus de tomate : c’est un légume/fruit plein de vitamine C. Il apporte donc de l’énergie à l’organisme meurtri par le pneumocoque. Il est d’ailleurs conseillé d’en consommer au quotidien durant la convalescence.

 

Quelle prise en charge de l’infection à pneumocoques par l’Assurance maladie ?

Une infection à pneumocoque reste une pathologie dangereuse. 

Raison pour laquelle les interventions médicales sont exhaustives. Pour alléger les charges, vous devez souscrire à une assurance adaptée à votre situation.

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