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Tout savoir sur les accidents iatrogènes

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Santors est votre courtier spécialisé en assurance santé senior, prévoyance ainsi qu'en mutuelle de vos amis à 4 pattes. Nous sommes basés à Carros, à 10 minutes de Nice. Nous avons la chance d’être en terre et mer et nos clients aujourd’hui nous font confiance aux 5 coins de l’hexagone.

Nous avons également la chance de travailler avec les leaders de l’assurance santé et nous comparons, pour vous, plusieurs centaines d’offres.

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L’assurance santé est la couverture la plus importante pour un particulier, il ne faut pas la négliger. Alors, allez-y !

Sommaire

Qu’est-ce que l’accident iatrogène ?

Par définition, l'iatrogénie médicamenteuse est l’ensemble des effets indésirables causés par la prise d’un ou plusieurs médicaments. 

Certaines personnes parviennent supporter ce mal, surtout si les troubles se limitent à des désagréments occasionnels (maux de tête, nausée, etc.). 

D’autres individus, en revanche ont beaucoup de mal à y faire face. Dans ce cas précis, on parle donc d’accident iatrogène, car le trouble présente un réel danger pour la survie du concerné.

 

Personnes à risques

Bien que chacun puisse souffrir d’un accident iatrogène, les personnes âgées sont les principales victimes. D’après les statistiques, environ 10 % d’entre eux sont hospitalisés à cause de ce phénomène. La raison est simple : la consommation de médicaments est plus élevée chez les seniors.

Pourtant, avec l’âge, la capacité de fonctionnement du foie et des reins connaît une baisse. En effet, il devient plus difficile à ces deux organes d’éliminer les déchets et les toxines. Résultat ! L’organisme accumule plus de produits, causant ensuite un accident iatrogène.

Certaines personnes âgées souffrent davantage d’accidents iatrogènes à cause de leur perte de mémoire. Par conséquent, elles risquent d’oublier la posologie et le dosage durant le traitement.

Certes, plus courants chez les aînés, les accidents iatrogènes n’épargnent pas les plus petits. En effet, les enfants sont également des personnes à risques. Ainsi, il est de rigueur de rester vigilant pour l’administration des médicaments chez les petits et de les conserver hors de leur portée.

 

Quelles sont les causes d’un accident iatrogène ?

Les causes d’un accident iatrogène sont très variables. En général, il peut survenir en cas de : :

  • Polymédication qui suppose l’interaction entre plusieurs médicaments. Elle est à l’origine de 1 sur 3 d’accident iatrogène à cause du cumul des effets indésirables.
  • Automédication inappropriée des médicaments (posologie et dosage inadéquat)
  • Défaut d’observation thérapeutique qui survient généralement lorsque le patient oubli ou arrête brusquement la prise de son médicament sans solliciter l’avis d’un médecin.
  • Intolérance au médicament qui affecte souvent chez les personnes âgées dont la fonction rénale et hépatique est incapable de fonctionner normalement.
  • Poly Médicalisation qui se réfère à la « surconsommation de médecins ». Cette fois-ci, le patient consulte plusieurs spécialistes qui proposent des traitements différents.

 

Quel médicament cause le plus d’accidents iatrogènes ?

De nombreux médicaments sont responsables des accidents iatrogènes. Mais les plus redoutables sont :

 

Les anti-inflammatoires non stéroïdiens

Les anti-inflammatoires non stéroïdiens sont des médicaments antispasmodiques. Ils évitent la contraction involontaire des muscles. Leur action calme donc les douleurs. C’est le cas de l’aspirine, l’ibuprofène et le diclofénac.

Malheureusement, les AINS occasionnent des dommages au système digestif. Comme, ils bloquent la sécrétion des prostaglandines, la muqueuse digestive n’est plus protégée de l’acidité des sucs digestifs. Par conséquent, cette membrane peut être altérée, d’où la formation d’un ulcère.

Pourtant, on sait très bien que l’ulcère peut être à l’origine de :

  • L’hémorragie digestive qui est potentiellement mortelle, surtout chez les patients qui continuent de prendre de l’aspirine.
  • La perforation ulcéreuse qui doit être prise en charge en urgence

 

Les traitements contre l’hypertension artérielle

Il existe de nombreuses familles de médicaments contre l’hypertension artérielle. Si elles visent toutes à abaisser la tension artérielle, elles peuvent être source des accidents iatrogènes. Parmi les plus graves se trouvent l’altération de la fonction rénale, la toux (sèche ou grasse) les troubles comportementaux et psychiques.

Dans tous les cas, seuls quelques médicaments peuvent être responsables des accidents iatrogènes. C’est le cas de :

  • Antagonistes des récepteurs de l’angiotensine (ARA II)
  • Diurétiques
  • Bêtabloquant
  • Inhibiteurs de l’enzyme de conversion de l’angiotensine (IEC)

 

Les antidépresseurs

Les antidépresseurs sont constitués de principes actifs qui agissent sur le cerveau. En tant que psychotropes, ils provoquent des répercussions sur le corps et le psychisme. Leurs effets secondaires se ressentent principalement au niveau du comportement. Effectivement, les patients se plaignent généralement d’une agitation et d’une irritation inexpliquée.

Les plus graves répercussions sont certainement celles qui touchent la mémoire. Les antidépresseurs entraînent malheureusement une dégradation cérébrale, responsable de la chute, voire du suicide chez les personnes âgées.

 

Les antalgiques dérivés de la morphine

Certes, les antalgiques du palier 2 et 3 apaisent les douleurs jugées modérées et intenses, mais ils doivent être utilisés avec précaution. En effet, comme ils contiennent (enfin presque) de l’opioïde, ils sont souvent à l’origine de :

  • Troubles digestifs
  • Problèmes neuropsychiques
  • Difficultés respiratoires
  • Forte dépendance à la fois psychologie et physique (l’accoutumance peut ainsi provoquer un surdosage involontaire, conduisant ensuite à un risque mortel).

Certains antalgiques, comme le tramadol, causent des accidents iatrogènes spécifiques parmi lesquels se trouve l’altération du rythme cardiaque ou de l’élévation du taux de sucre dans le sang. Par conséquent, la consommation chez les diabétiques et les hypertendus peut être très dangereuse.

 

Comment se manifeste l’accident iatrogène ?

Les accidents iatrogènes font souvent l’objet de consultations chez le médecin. Parfois, ils peuvent aboutir à une hospitalisation.

 

Les accidents iatrogènes faisant l’objet de consultations

Après la prise d’un ou plusieurs médicaments, les patients peuvent ressentir les effets indésirables suivants :

  • Problèmes généraux (fatigue, malaise, maux de tête… qui concerne 9 % des cas)
  • Éruption cutanée, comme la toxidermie, la dermatose… Les lésions peuvent être accompagnées de fièvre ou d’œdème sur le visage.
  • Troubles gastro-intestinaux, comme la nausée, vomissement, constipation.
  • Troubles neuropsychiques, tels que le syndrome confusionnel chez les personnes âgées

 

Les accidents iatrogènes à prendre en charge en urgence

Les effets indésirables des médicaments peuvent être dangereux, si bien que l’hospitalisation se révèle nécessaire. Parmi ces accidents iatrogènes se trouvent :

  • Hypoglycémie
  • Affection gastro duodénale (complication de l’ulcère gastrique qui concerne 9 % des cas recensés)
  • Hypotension ou baisse du rythme cardiaque qui s’accompagne souvent d’un malaise, ou d’un évanouissement
  • Hypokaliémie
  • Insuffisance rénale
  • Réaction allergique grave (d’œdème de Quincke, choc anaphylactique, urticaire).

Il est important de noter que 20 % des cas d’accidents iatrogènes se manifestent par des troubles cardio-vasculaires. Les patients concernés souffrent généralement d’un arrêt cardiaque ou d’une syncope.

Ce n’est pas tout, 11 % des personnes atteintes d’accidents sont sujettes à des affections du système nerveux. Cela inclut notamment des crises de convulsions et d’épilepsie.

 

Quelles sont les mesures à prendre en cas d’accident iatrogène ?

En cas d’accident iatrogène, il est crucial d’agir vite afin d’éviter les éventuelles complications. Prendre dès maintenant les mesures de précaution nécessaire pour prévenir l’apparition de ces complications est aussi une excellente alternative.

 

Les bons gestes à faire en cas d’accident iatrogène

Lorsque les symptômes d’un accident iatrogène apparaissent, contactez rapidement votre médecin. Ce dernier est le seul à décider, si vous devez continuer ou changer votre traitement. Mais, si les manifestations cliniques persistent, ou s’aggravent, rendez-vous directement en urgence.

 

Les mesures de prévention

Pour prévenir l’accident iatrogène, adoptez les mesures de prévention suivantes :

  • Informez tous les professionnels de santé (que vous avez consultés) de votre passé médical (les médicaments pris, la thérapie en cours, etc.)
  • Évitez l’automédication
  • Renseignez-vous davantage sur votre traitement (contre-indication, précaution d’emploi et posologie)

 

Quel dédommagement pour les préjudices causés par les médicaments ?

En cas d’accident iatrogène, les victimes peuvent bénéficier d’une indemnisation au titre de la solidarité nationale, en dehors d’une prise en charge par l’assurance-maladie.

 

L’indemnisation en vertu de la solidarité nationale

La loi Kouchner accorde une indemnisation (somme d’argent) aux ayants droit ou à la famille en cas de décès dû à un accident iatrogène. Cette réparation est octroyée en vertu de la solidarité nationale. Elle est basée sur la responsabilité sans faute des professionnels de santé.

Bien évidemment, si les victimes pensent que l’accident est arrivé à cause d’une erreur de diagnostic d’un médecin ou d’un professionnel de santé, ils doivent prouver cette faute. Dans ce cas, la responsabilité du docteur est engagée.

 

Prise en charge par la sécurité sociale

La sécurité sociale peut intervenir en cas d’accident iatrogène. Mais sa prise en charge dépend de plusieurs facteurs, comme :

  • La nature des effets indésirables (crises cardiaques, perforation ulcéreuse, etc.)
  • Le type de traitement à suivre
  • Le niveau de prise en charge (consultation ou hospitalisation)

 

Conclusion

L’accident iatrogène désigne l’effet indésirable d’un médicament qui met en danger la vie du patient. Sa survenance dépend de l’état de santé de chacun. Mais il touche le plus souvent les personnes âgées qui prennent plusieurs traitements à la fois. Sa manifestation est aussi très variable allant de simples désagréments à de troubles graves. Heureusement, il est pris en charge par l’assurance-maladie. Mais, pour bénéficier d’un remboursement intégral, souscrivez à une mutuelle. Le comparateur en ligne Santors peut vous être d’une grande aide dans la recherche de la meilleure mutuelle.

Tout savoir sur les accidents iatrogènes

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Nous avons également la chance de travailler avec les leaders de l’assurance santé et nous comparons, pour vous, plusieurs centaines d’offres.

Comparateur ? Non bien plus ! Santors vous accompagne dans votre démarche afin de vous dire si vos contrats actuels sont bien placés, mais surtout s'ils correspondent à vos besoins. Nous analysons ensuite le marché et vous proposons l’offre la mieux adaptée. En clair, nous faisons du sur-mesure !

L’assurance santé est la couverture la plus importante pour un particulier, il ne faut pas la négliger. Alors, allez-y !

Sommaire

Qu’est-ce que l’accident iatrogène ?

Par définition, l'iatrogénie médicamenteuse est l’ensemble des effets indésirables causés par la prise d’un ou plusieurs médicaments. 

Certaines personnes parviennent supporter ce mal, surtout si les troubles se limitent à des désagréments occasionnels (maux de tête, nausée, etc.). 

D’autres individus, en revanche ont beaucoup de mal à y faire face. Dans ce cas précis, on parle donc d’accident iatrogène, car le trouble présente un réel danger pour la survie du concerné.

 

Personnes à risques

Bien que chacun puisse souffrir d’un accident iatrogène, les personnes âgées sont les principales victimes. D’après les statistiques, environ 10 % d’entre eux sont hospitalisés à cause de ce phénomène. La raison est simple : la consommation de médicaments est plus élevée chez les seniors.

Pourtant, avec l’âge, la capacité de fonctionnement du foie et des reins connaît une baisse. En effet, il devient plus difficile à ces deux organes d’éliminer les déchets et les toxines. Résultat ! L’organisme accumule plus de produits, causant ensuite un accident iatrogène.

Certaines personnes âgées souffrent davantage d’accidents iatrogènes à cause de leur perte de mémoire. Par conséquent, elles risquent d’oublier la posologie et le dosage durant le traitement.

Certes, plus courants chez les aînés, les accidents iatrogènes n’épargnent pas les plus petits. En effet, les enfants sont également des personnes à risques. Ainsi, il est de rigueur de rester vigilant pour l’administration des médicaments chez les petits et de les conserver hors de leur portée.

 

Quelles sont les causes d’un accident iatrogène ?

Les causes d’un accident iatrogène sont très variables. En général, il peut survenir en cas de : :

  • Polymédication qui suppose l’interaction entre plusieurs médicaments. Elle est à l’origine de 1 sur 3 d’accident iatrogène à cause du cumul des effets indésirables.
  • Automédication inappropriée des médicaments (posologie et dosage inadéquat)
  • Défaut d’observation thérapeutique qui survient généralement lorsque le patient oubli ou arrête brusquement la prise de son médicament sans solliciter l’avis d’un médecin.
  • Intolérance au médicament qui affecte souvent chez les personnes âgées dont la fonction rénale et hépatique est incapable de fonctionner normalement.
  • Poly Médicalisation qui se réfère à la « surconsommation de médecins ». Cette fois-ci, le patient consulte plusieurs spécialistes qui proposent des traitements différents.

 

Quel médicament cause le plus d’accidents iatrogènes ?

De nombreux médicaments sont responsables des accidents iatrogènes. Mais les plus redoutables sont :

 

Les anti-inflammatoires non stéroïdiens

Les anti-inflammatoires non stéroïdiens sont des médicaments antispasmodiques. Ils évitent la contraction involontaire des muscles. Leur action calme donc les douleurs. C’est le cas de l’aspirine, l’ibuprofène et le diclofénac.

Malheureusement, les AINS occasionnent des dommages au système digestif. Comme, ils bloquent la sécrétion des prostaglandines, la muqueuse digestive n’est plus protégée de l’acidité des sucs digestifs. Par conséquent, cette membrane peut être altérée, d’où la formation d’un ulcère.

Pourtant, on sait très bien que l’ulcère peut être à l’origine de :

  • L’hémorragie digestive qui est potentiellement mortelle, surtout chez les patients qui continuent de prendre de l’aspirine.
  • La perforation ulcéreuse qui doit être prise en charge en urgence

 

Les traitements contre l’hypertension artérielle

Il existe de nombreuses familles de médicaments contre l’hypertension artérielle. Si elles visent toutes à abaisser la tension artérielle, elles peuvent être source des accidents iatrogènes. Parmi les plus graves se trouvent l’altération de la fonction rénale, la toux (sèche ou grasse) les troubles comportementaux et psychiques.

Dans tous les cas, seuls quelques médicaments peuvent être responsables des accidents iatrogènes. C’est le cas de :

  • Antagonistes des récepteurs de l’angiotensine (ARA II)
  • Diurétiques
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  • Inhibiteurs de l’enzyme de conversion de l’angiotensine (IEC)

 

Les antidépresseurs

Les antidépresseurs sont constitués de principes actifs qui agissent sur le cerveau. En tant que psychotropes, ils provoquent des répercussions sur le corps et le psychisme. Leurs effets secondaires se ressentent principalement au niveau du comportement. Effectivement, les patients se plaignent généralement d’une agitation et d’une irritation inexpliquée.

Les plus graves répercussions sont certainement celles qui touchent la mémoire. Les antidépresseurs entraînent malheureusement une dégradation cérébrale, responsable de la chute, voire du suicide chez les personnes âgées.

 

Les antalgiques dérivés de la morphine

Certes, les antalgiques du palier 2 et 3 apaisent les douleurs jugées modérées et intenses, mais ils doivent être utilisés avec précaution. En effet, comme ils contiennent (enfin presque) de l’opioïde, ils sont souvent à l’origine de :

  • Troubles digestifs
  • Problèmes neuropsychiques
  • Difficultés respiratoires
  • Forte dépendance à la fois psychologie et physique (l’accoutumance peut ainsi provoquer un surdosage involontaire, conduisant ensuite à un risque mortel).

Certains antalgiques, comme le tramadol, causent des accidents iatrogènes spécifiques parmi lesquels se trouve l’altération du rythme cardiaque ou de l’élévation du taux de sucre dans le sang. Par conséquent, la consommation chez les diabétiques et les hypertendus peut être très dangereuse.

 

Comment se manifeste l’accident iatrogène ?

Les accidents iatrogènes font souvent l’objet de consultations chez le médecin. Parfois, ils peuvent aboutir à une hospitalisation.

 

Les accidents iatrogènes faisant l’objet de consultations

Après la prise d’un ou plusieurs médicaments, les patients peuvent ressentir les effets indésirables suivants :

  • Problèmes généraux (fatigue, malaise, maux de tête… qui concerne 9 % des cas)
  • Éruption cutanée, comme la toxidermie, la dermatose… Les lésions peuvent être accompagnées de fièvre ou d’œdème sur le visage.
  • Troubles gastro-intestinaux, comme la nausée, vomissement, constipation.
  • Troubles neuropsychiques, tels que le syndrome confusionnel chez les personnes âgées

 

Les accidents iatrogènes à prendre en charge en urgence

Les effets indésirables des médicaments peuvent être dangereux, si bien que l’hospitalisation se révèle nécessaire. Parmi ces accidents iatrogènes se trouvent :

  • Hypoglycémie
  • Affection gastro duodénale (complication de l’ulcère gastrique qui concerne 9 % des cas recensés)
  • Hypotension ou baisse du rythme cardiaque qui s’accompagne souvent d’un malaise, ou d’un évanouissement
  • Hypokaliémie
  • Insuffisance rénale
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Il est important de noter que 20 % des cas d’accidents iatrogènes se manifestent par des troubles cardio-vasculaires. Les patients concernés souffrent généralement d’un arrêt cardiaque ou d’une syncope.

Ce n’est pas tout, 11 % des personnes atteintes d’accidents sont sujettes à des affections du système nerveux. Cela inclut notamment des crises de convulsions et d’épilepsie.

 

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Les bons gestes à faire en cas d’accident iatrogène

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Les mesures de prévention

Pour prévenir l’accident iatrogène, adoptez les mesures de prévention suivantes :

  • Informez tous les professionnels de santé (que vous avez consultés) de votre passé médical (les médicaments pris, la thérapie en cours, etc.)
  • Évitez l’automédication
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Quel dédommagement pour les préjudices causés par les médicaments ?

En cas d’accident iatrogène, les victimes peuvent bénéficier d’une indemnisation au titre de la solidarité nationale, en dehors d’une prise en charge par l’assurance-maladie.

 

L’indemnisation en vertu de la solidarité nationale

La loi Kouchner accorde une indemnisation (somme d’argent) aux ayants droit ou à la famille en cas de décès dû à un accident iatrogène. Cette réparation est octroyée en vertu de la solidarité nationale. Elle est basée sur la responsabilité sans faute des professionnels de santé.

Bien évidemment, si les victimes pensent que l’accident est arrivé à cause d’une erreur de diagnostic d’un médecin ou d’un professionnel de santé, ils doivent prouver cette faute. Dans ce cas, la responsabilité du docteur est engagée.

 

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Conclusion

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